Essai Citroën C4 BlueHDi 120

Essai Citroën C4 BlueHDi 120

Sortie en début octobre 2014 avant l’ouverture de la 14ème édition du Mondial de l’Automobile, la Citroën C4 BlueHDi 120 fait timidement un carton. Pour comprendre le pourquoi, voyons de près ce que cette monospace compacte 2ème génération signée PSA a dans le ventre.

Côté design, le successeur de la C4 Picasso 1,6 e-HDi 115 reste dans la sobriété. Le modèle débarque, certes, avec de nouvelles optiques telles des feux de jour à diodes à l’avant et des phares à LED avec effet 3D à l’arrière ainsi qu’une console centrale équipée d’un écran tactile 7pouces, mais sans plus. Esthétiquement parlant, le restylage de la version BlueHDi 120 de la C4 est un peu bâclé.

Sous son capot, la Citroën C4 BlueHDi 120 abrite un moteur plus musclé de 120 chevaux, 4 cylindres en ligne et 8 soupapes avec une cylindrée de 1560 cm3. Pour la petite touche de modernité, même si elle ne permet pas d’obtenir un bonus avec un rejet moyen de 95g de CO2 par kilomètre, elle répond déjà à la norme anti-pollution Euro 6 grâce à son filtre à oxydes d’azote nocives pour la santé. Comme d’habitude, la C4 offre un confort de suspension exemplaire en franchissant les aspérités de la route et les parcours sinueux. Question consommation, elle est moins énergivore que son prédécesseur. La preuve ? La C4 BlueHDi 120 sirote seulement 3,7 à 4 litres aux 100 kilomètres.

Toutefois, on pourrait reprocher 2 choses à la Blue HDi 120. D’abord, compte tenu du remplacement de l’alternodémarreur par le système Stop&Start avec un simple démarreur renforcé, le véhicule fait ressentir des vibrations au niveau du pédalier au démarrage et en mode ralenti. Ensuite, la C4 présente un manque de dynamisme. Sur route, elle bondit le 0 à 100km/h en un temps de 10,6 secondes et sa vitesse maximale est de 197 km/h.

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